- http://nooooooooooooooo.com, Darth Vader's style
- http://pas.la...quand on est pas là
- http://something.com si on cherche quelque chose; enfin ça marche surtout en anglais, hein
- http://perdu.com si on est perdu (l'Internet c'est grand)
- http://down.com quelques définitions
- http://estcequecestbientotleweekend.fr pour savoir si c'est bientôt le week-end, ou si il est déjà là
Monday 12 September 2011
Les url à la con
By n on Monday 12 September 2011, 23:19
Friday 19 August 2011
p(ar|ira)tage
By n on Friday 19 August 2011, 22:26
Il n'y a pas très longtemps, iTunes a généreusement augmenté la durée de pré-écoute de ces morceaux, de 30 secondes (c'est à dire rien) à...90 secondes (c'est à dire presque rien). Confort. Merci Apple quoi. MERCI.
Nan mais sérieusement. Le fameux principe du: prohibition->marché noir->répression est de nouveau à l’œuvre. On ne peut pas avoir d'accès facile à la musique sans la télécharger de façon plus ou moins illégale. Une pré-écoute ? et c'est avec trente pauvres secondes que je vais me faire une idée de la qualité d'un morceau ? C'est un peu comme si, pour vous vendre un tableau, on ne vous en montrait qu'une partie. Ou si, pour vous vendre un film, on ne vous en montrait qu'une partie...bon OK, mauvais exemple.
Et bien pour se faire une idée claire (c'est à dire en entier, et si possible plusieurs fois) d'un morceau, ou d'un album, on ne va pas sur le site du marchand. Non. On va sur un site qui fournit de la musique en streaming. Deezer, Jiwa, ou encore Grooveshark. Sites qui doivent également gagner leur pain donc souvent payants, et uniquement pour le streaming (sauf MusicMe), de plus en plus limités (Deezer again il y a quelques mois, précédé de peu par Spotify...peut être d'ailleurs à cause de certaines pressions). Mais je n'ai guère envie de payer pour une sorte de "radio améliorée" qui ne fait que ce que devrait faire le marchand: laisser écouter sa marchandise; comme dit un excellent artiste, ces sociétés "confondent l’art et l’argent".
Bref, du coup il ne faut pas s'étonner que pour découvrir un bon vieil album de façon confortable, il faille user de moyens détournés; et bizarrement, les pirates sont aussi des consommateurs. Encore une fois, c'est la prohibition/répression qui crée le piratage, et non l'inverse.
Donc il faudrait que les soit-disant vendeurs de musique en ligne arrêtent de nous revendre simplement un droit sur un catalogue, mais qu'ils innovent plutôt sur le service. À commencer par la durée d'écoute.
Tuesday 16 August 2011
Quand on est con, on est con.
By n on Tuesday 16 August 2011, 12:54
Je ne suis qu'une merde. Ma rutilante infra utilise actuellement heartbeat pour sa redondance, produit qui ne m'a jamais plu, ni pour sa fiabilité (désapprouvée ces derniers jours) ni pour pour ses fichiers de conf. En bon linuxien j'aurais bien installé quelque chose de mieux, genre keealived, mais seulement voila:
===> keepalived-1.1.11_1 depends on file: /usr/local/lib/libipvs.a - not found
===> Verifying install for /usr/local/lib/libipvs.a in /usr/ports/net/ipvs
===> ipvs-0.4.0_2 is only for i386, while you are running amd64.
*** Error code 1
Oui, c'est particulièrement moche. Ça l'est d'autant plus que si j'avais lu la doc, je n'aurais pas opté pour ces outils de rigolo mais bien utilisé dès le départ un vrai truc Unix: CARP. C'est pas comme si j’utilisais FreeBSD depuis des années hein.
Le truc encore plus moche, c'est que pour bénéficier de la chose, il faut recompiler le noyau, et rebooter. Malgré les dizaines de liens dispo assurant que "maintenant, on peut charger un module" comme dans n'importe quel noyau moderne, bah non, il a fallut que je me retape une compilation.
Et donc, le truc qui fait mal au cul:
tac /usr/src # uptime
12:53PM up 197 days, 22:27, 1 user, load averages: 0.64, 0.26, 0.40
Cent quatre-vingt dix-sept jours. Six PUTAIN DE MOI(S) sans un pet de travers. Comme dit dans une excellente nouvelle , « C’est comme euthanasier ta grand mère »...
J'ai donc remballé ma fierté de geek mal placé (la fierté, pas le geek), et pleuré toutes les larmes de mon corps en attendant le retour en ligne de mon amour de serveur. Ça m'apprendra à installer des trucs sans réfléchir.
Sunday 14 August 2011
une upgrade, et dodo
By n on Sunday 14 August 2011, 01:51
Après plusieurs tentatives infructueuses, j'ai fini par mettre à jour Dotclear, partant d'une version 2.1.6 (la seule qui s'upgrade pas automatiquement...) utilisant sqlite (pas de mise à jour automatique non plus...) vers une 2.3.1 flambant neuve sous MySQL.
Tout à l'air de fonctionner plus ou moins correctement, mais bon, comme d'habitude, peinture fraîche, tout ça.
Billets connexes
Saturday 30 July 2011
Kiss my NAS
By n on Saturday 30 July 2011, 14:20
Il existe en effet une distribution adaptée à plusieurs NAS que je me suis empressé d'installer. Pas mal, mais un peu limité, il doit y avoir moins d'une centaine de paquets disponibles...nickel pour du bricolage, mais ça manquait un peu de sérieux. Heureusement, D-Link, dans sa grande mensuétude, propose généreusement une Debian chrootée. À noter qu'il existe une possibilité d'installer une Debian "en dur" et de remplacer l'OS d'origine; solution qui me plaît moyen, vu que je perdrai l'interface web, et qui me parait en outre plutôt risquée (j'ai pas envie de perdre un Téra et des années de données)... Et puis j'aime bien la séparation entre la partie "constructeur" et la partie "OS/Unix", ça me rappelle mes copains les BIG-IP.
Installée il y a deux jours, la Debian donne entièrement satisfaction, je me demande même comment j'ai fait pour tenir aussi longtemps avec ffp :)
Autre avantage de pouvoir installer les softs qu'on veux: l'installation d'une solution de streaming pour pouvoir écouter de la bonne musique n'importe où. Je me suis d'abord penché sur 10er10, un truc en Ajax/Node.js/CouchDB, mais qui visiblement reconvertit les morceaux à la volée en OGG vorbis... j'ai peur de faire fondre le CPU de la machine avec ça. Je me suis donc rabattu sur une vieille connaissance: Ampache. Interface skinable, backends MPD, Banshee, Amarok, et même applications mobiles...il a tout pour me plaire. Seule emmerde jusqu'ici (et de taille): une importation des données un peu foireuse, il manque pas mal d'albums ainsi que la plupart des pochettes. Mais nul doute que je vais trouver une solution, le bonheur de mes oreilles est à ce prix !
Billets connexes
Wednesday 27 July 2011
Google, je t'aime moi non plus (2)
By n on Wednesday 27 July 2011, 00:35
Ouais, Google. Encore lui. Celui dont je cherche à éloigner la curiosité. Ça tombe bien, il est indiqué sur le site de phpMyVisites que le produit à donné naissance à Piwik, présenté comme un « Analytics-killer ». Ça semble assez bien correspondre à ce que je cherche.
Google Analytics vs. Piwik
L'installation est rapide est facile, il suffit d'ajouter les sites de mettre le code qui va bien sur les pages à surveiller. Seul récalcitrant à l'affaire, dotClear dont la dernière version du plugin had-oc fait planter l'admin, et l'avant dernière version...ne fait rien. J'ai donc du hacker salement (mais alors, vraiment très salement) le plugin phpMyVisites qui lui fonctionne toujours...comme quoi, c'est toujours les trucs les plus simples qui fonctionnent le mieux.
Viens ensuite le gros point qui fâche: l'import des données. Parce que c'est bien joli, mais avec ça je me retrouve avec des stats éparpillées sur quatre softs différents...
- Les visiteurs: bon, on va oublier l'ancêtre hein :)
- phpMyVisites: aucun import possible, un plugin a été envisagé (priorité "majeure")...et abandonné au bout de trois ans et demi (!). Quand on pense que les deux projets proviennent de la même équipe, c'est quand même la méga-lose. Faites-moi donc penser à égorger un développeur, pour que ce genre de chose n'arrive plus.
- Google Analytics: un script d'import existe, il semble retrouver les infos...mais n'en fait rien. Rien n’apparaît dans Piwik. Rien. Que pouique, pour le coup ( Attention Jeu de mots).
Billets connexes
Monday 18 July 2011
Google, je t'aime moi non plus.
By n on Monday 18 July 2011, 23:35
Cependant, je me suis rendu compte en testant leur petit dernier, plus, que les contacts suggérés...étaient directement extraits de mon carnet d'adresse. Je me suis alors dit que je laissais un peu trop de données personnelles dans les mains du gentil géant; et pas seulement mes données à moi, mais aussi celle de mes contacts...
Tout ceci vient au moment au moment où certains sont ennuyés par tout ce que sait cette société, et où d'autres s'inquiètent carrément de sa toute puissance (lien YouTube, donc Google, tavu).
J'ai donc décidé de rapatrier mes données dans le lieu qu'elles n'auraient jamais du quitter: chez moi. En commençant par les flux RSS (l'historique de mes recherches doit bien leur suffire, inutile d'y ajouter mes lectures), les contacts (again) et mon agenda.
Google Reader vs. Tiny Tiny RSS
J'avais délaissé mon fidèle agrégateur home-made pour le séduisant Reader. Celui-ci a été facile à remplacer, en l'occurrence par Tiny Tiny RSS, qui pour le coup se paye le luxe d'être plus efficace que GReader: en effet, plutôt que de ne rien dire il affiche les flux en erreur en rouge, et permet facilement de les supprimer où de les mettre à jour. Une version mobile et une appli Android complètent le tableau. Léger, customisable...what else, comme dirait George.
Google Contacts/Calendar vs. Tine 2.0
Pour les contacts et le calendrier, j'ai cherché longtemps un équivalent. Il me fallait pouvoir les gérer en ligne, les synchroniser avec mon téléphone et idéalement avec Thunderbird. J'ai donc fait le tour des inévitables groupwares, véritables usines à gaz alors que je n'avais besoin du minimum...
Je suis finalement tombé sur ce post vantant les mérites de Tine 2.0. C'est en effet la perle rare: léger, modulaire, il permet la synchro avec le téléphone via Activesync (paradoxalement, la techno de Microsoft est plus mature sous Android que les plus ouverts Caldav et autres Carddav) et intégre un client webmail bien plus sexy que mon vieillissant Squirrelmail. Seuls regrets pour l'instant, pas de champs additionnels pour les contacts, si pratiques pour stocker les adresses de messagerie instantanée, et un support Thunderbird quasi-inexistant: pas de synchro avec Lightning, et une extension pour les contacts...incompatible avec Thunderbird 5. Tant pis, pour l'instant le web suffira.
Voila, pour l'instant pas (encore) question d'héberger mon propre miroir YouTube, mais au moins, si je vais continuer à utiliser les produits "sociaux" de la firme californienne, je vais dorénavant éviter de laisser traîner des trucs un peu perso dans des endroits où ils n'ont rien à faire.
Billets connexes
Friday 24 June 2011
Mais qu'est ce que c'est qu'ce Thruk ?
By n on Friday 24 June 2011, 14:22
Jusqu'à maintenant, la Tourmentine n'avait pas de solution de supervision digne de ce nom, mais l'externalisation des services m'oblige à en mettre une en place. Je pratique Nagios depuis pas mal d'années, mais ce dernier commence à accuser sérieusement son âge: interface CGI old-school et super moche, peu d'évolutions...
Je me suis donc d'abord tourné vers Shinken, une solution décentralisée, permettant la montée en charge, écrite en Python. Malheureusement pour le coup le produit reste encore "jeune": trop linux-centric (les scripts de lancement utilisent bash, le script d'init est uniquement prévu pour du GNU), trop de processus lancés (pour permettre la montée en charge justement, mais c'est un peu overkill dans notre situation)...trop compliqué. En plus le projet n'ayant pas d'interface graphique, il a fallut également installer Thruk, une interface alternative à celle de Nagios, ajoutant un peu de confort à l'ensemble. Là encore, c'était une fausse bonne idée: interface en CGI/Perl (modernité) difficile à intégrer et à maintenir. Au revoir.
Sur les bons conseils d'un ami je me suis finalement tourné vers Icinga, un fork de Nagios. Disponible en version 1.3.0 via les ports de FreeBSD, et en 1.4.1 via un port récupéré ici et patché par mes soins, il offre une parfaite alternative à Nagios. L'interface par défaut rajeuni l'ensemble sans trop dérouter, une interface alternative est également disponible, mais un peu trop usine-à-gaz à mon goût. J'espère que le projet va continuer dans la bonne direction, et ne pas devenir trop lourd à utiliser...
Utilisateur de Nagios Administrator, j'ai opté cette fois-ci pour NConf en tant que générateur de configuration. Peut être moins souple que le premier, NConf évite pas mal d'écueils de ce genre d'outil, où la trop grande souplesse oblige paradoxalement à plus de rigueur dans la conception de la supervision. Il m'a permit de mettre en place l'ensemble des services basiques (12 machines, 42 services) en un peu moins d'une journée. En somme, un bon outil !
La Tourmentine disposant maintenant de son fidèle chien de garde, je vais enfin pouvoir dormir l'esprit tranquille :)
Billets connexes
Sunday 10 April 2011
DRM, à l'envers, ça donne MRD. Je vous laisse le soin d'ajouter les voyelles manquantes.
By n on Sunday 10 April 2011, 14:55
Je n'ai jamais compris pourquoi les gens s’obstinent à foutre des protections de merde sur tous les média dits "numériques" (ne dites pas "digital", s'il vous plait).
Déjà dans les années 80, les éditeurs persistaient à mettre des protections ridicules sur leurs jeux vidéos, histoire de gagner de quelques jours à quelques semaines avant que leurs ventes soit menacées par les méchants pirates. Protections, qui, soit dit en passant, étaient souvent une contrainte pour les gens ayant acheté le jeu légalement (ceux qui ont galéré avec des questions sur la notice ou les divers éléments contenus dans la boite pour pouvoir jouer comprendront)
Et cette sale manie n'a pas changé. Les éditeurs ont essayé de nous faire le coup pour feu les CD - je ne sais même pas si ça existe encore - avec le pitoyable Copy Control, puis sur les DVD avec DeCSS, craqué avant même la sortie des premières galettes, et bien sûr avec nos chers MP3... Heureusement que pour une fois Apple a fait une bonne action (en fait calculée, pour contrer la sortie du Zune) en boutant les DRM hors de son iT(h)unes, et les éditeurs ont suivi. Liberté. Depuis, j'achète la plupart des albums que j'écoute, je suis redevenu un consommateur comblé qui n'a pas peur d'acheter un truc inutilisable.
Mais j'ai pris le train des livres électroniques. Et guess who's coming to dinner ...le retour des fameux DRM. De façon plutôt insidieuse, on vous propose le choix entre epub et pdf (grande classe, avoir les deux à la fois n'aurait pas été un luxe), avec une petite mention: "Attention : ce format est souvent verrouillé par le système d'Adobe dit « DRM ». Dans ce cas, seul Adobe Digital Edition® (version gratuite disponible sur le site Adobe), et quelques logiciels agréés permettent de déchiffrer ces fichiers."
Moi, plutôt naïf, me disant qu'après tout les DRM n'étaient qu'un mauvais souvenir, m'étais décidé à acheter deux bouquins chez un grand distributeur. Surprise, une fois transféré sur mon ordi, impossible de les lire comme j'avais pu les faire pour des œuvres du domaine public téléchargées "pour voir". Et en effet, pour pouvoir les lire j'avais besoin de leur fameux Adobe Digital MONCUL, avec une limitation sur le nombre de transferts et compagnie.
Cette histoire c'est terminé par une lettre d'insultes au distributeur (qui en fait n'y était pour rien, les verrous étant mis en place par les éditeurs), ainsi qu'un dynamitage des DRM à grand coup de script python afin que je puisse lire mes deux malheureux bouquins.
Et du coup je m'interroge. Je ne suis pas dans l'illégalité vu que 1) j'ai acheté - et cher en plus, les prix étant indexés sur la version reliée et non poche - tout à fait légalement ces bouquins, et que 2) je pense être plus ou moins dans mon droit, même si je ne suis pas juriste. Mais dois-je continuer d'acheter des livres farcis aux DRM et les virer systématiquement, ou m'interdire de les acheter en espérant que mon maigre boycott fera réfléchir les éditeurs ? ou attendre qu'ils comprennent enfin que c'est inutile et que le marché ne décollera vraiment que quand il n'y en aura plus ?
C'est dommage. Je n'ai aucune envie de revenir au livre papier, et l'offre sans DRM ne se limite en général qu'au domaine public, soit les vieux trucs et des auteurs plus ou moins amateurs, et du coup plus ou moins bons. Alors, once again, je suis, malgré ma grande honnêteté, obligé de continuer à jouer au méchant pirate en m'approvisionnant sur des sites fort peu recommandables. Espérons que cela changera rapidement.
Billets connexes
Saturday 12 March 2011
Meurt Hollywood, Meurt.
By n on Saturday 12 March 2011, 23:50
Comme je le disais il y a déjà fort longtemps, le cinéma, américain en particulier, manque cruellement d'originalité. Et cela ne semble pas aller en s'arrangeant, avec la sortie prochaine des Schtroumphs, qui s'annonce dors-et-déjà comme un flop dans tous les pays où la BD et le dessin animé ont eu du succès (Belgique et France en tête), et d'un - semble-t-il aussi - mauvais remake de Conan le barbare.
C'est marrant, Conan, j'en parlais déjà dans le billet précédent, et avec l'absence des principaux protagonistes (Dino de Lorentiis, Basil Poledouris, forcément), ça ne risque pas de s'arranger.
Mais ce n'est pas grave, c'est en 3D, le nouvel argument marketing qui t'en fout plein les mirettes, donc tu vas surkiffer. Rassure-toi ami jeune, il n'y a que les vieux cons réac' comme moi qui n'apprécient pas vraiment ce genre de, heu, cinéma.
« previous entries - page 20 of 31 - next entries »